Le métier de commercial est-il bien compris chez Realytics ?
Auparavant quand on parlait du commercial, on avait tout de suite l’image de Jean-Claude Convenant de Caméra Café. (rire) Heureusement le métier de Business Developer a beaucoup changé : c’est un beau métier à un poste stratégique ! On a beau avoir le meilleur des produits, si on ne le fait pas connaître il ne se passera rien.On en a jamais eu autant besoin, car dans le business il y a avant tout l’Humain. A force de tout digitaliser, on oublie que dans la relation client il y a l’émotionnel. Ici, toute l’équipe sales joue en synergie avec l’équipe Data Scientist, Tech et Product manager.
Comment faites-vous pour motiver votre équipe ?
Challenge et partage des best practices ! C’est une histoire d’équilibre : du contrôle via l’outil CRM, puis une part de liberté pour se responsabiliser. La nouvelle génération en demande de plus en plus, et mon but est de pouvoir les faire grandir avec moi sur des projets, notamment par un système de référent par sujet. Il faut considérer chaque sales comme une partie intégrante de la stratégie globale et avancer en team, car seul on va vite, ensemble on va plus loin !
Realytics et l’international ?
On est déjà en route ! Nous avons un produit scalable, et par la force des choses ce sont nos clients qui nous y amènent. Dernièrement, c’était en Afrique du Sud pour le client Deezer. Aujourd’hui on opère des campagnes dans 32 pays depuis la France et nous avons des Inside Sales « natives » en Allemagne, au UK & US ainsi qu’en Australie pour continuer notre traction sur ces marchés. L’intérêt pour nous est de d’abord connaître les marchés et ses spécificités : “Think global, act local”.
Le mot de la fin ?
Communiquer ! C’est une science difficile qui s’apprend et se cultive. Indépendamment du business, avoir une communication fluide crée de la cohésion et de la valeur.
Merci Romain !